#BormesLesMimosas ... le besoin de casser !
Olivier Gritti souligne, dans nos échanges épistolaires, qu'il appréciait l'humanité du mouvement François Arizzi.
Nous avons bien réfléchi et recherché des preuves de l'affirmation du conseiller à la campagne électorale mais nous n'avons pas trouvé le moindre élément concret de bienveillance envers la population.
Par contre chaque projet repose sur le besoin de casser l'ancien monde pour reconstruire un "Monde" idéal ...
Il faut casser la Favière
Il faut casser le Village
Il faut casser Le Pin de Bormes
Il faut casser la plaine et Manjastre
Il faut casser la Place Saint François
Il faut casser le Grand Hôtel
Il faut casser le lien social
Il aura fallu 50 ans à la génération précédente pour asseoir le charme du Village pour qu'un groupe d'Urbanistes, quelques hommes d'affaires et un politicien modifient un des plus beaux et charmants Village du Var.
Le patrimoine est là pour rappeler et inspirer la grandeur de l'humanité... Il faut le respecter et le protéger.
Ou est donc l'humanité de François Arizzi, si il n'a pas compris les leçons de l'histoire et compris qu'il fallait s'en inspirer pour ne pas commettre les mêmes erreurs que les Maires précédents.